[FINI] Des retrouvailles sanglantes ! [PV : Hiryuu Atsushi]

Dans le couloir calme et spacieux, le rire de Maria se fit entendre suite à ma proposition de la soigné si une maladie venait à la toucher. Puis elle fit une mimique de réfléchir devant moi, avant de me répondre :

- Zenon ? Elle hésita un instant, Le démon...

Je la vis haussé les épaules avant de me regarder avec un œil alerté. Elle exposa un sourire indiscernable dont elle seule avait le secret, surement entre le sadisme et la joie. Puis elle posa doucement une main sur mon épaule avant de dire pleine de confiance :

- J'espère bien ! Je lui ferais payer ce qu'il nous a fait !

Je continuais à l’observé soigneusement, sur sa face était toujours présent ce sourire pleins de mystère qui se mélangeait étrangement bien à la situation dans laquelle nous étions. Un démon énigmatique venait de nous attaqué… comment sommes nous arrivé dans cette situation me questionnais je. N’ayans pas l’habitude de ce genre de conflits, je ne s’avais pas vraiment comment réagir. Devais-je réagir comme Maria ? Et que devrais-je faire si nos routes se croisent de nouveau ? Tant de question dont les réponses ne me parurent pas immédiatement. Je fis juste un sourire décontractée ne sachant pas quoi dire. Puis elle enchaina répondant à mon sourire :

- Et tu sais, tu ne me dois rien, je t'ai soignée car j'en avais envie !

Je pris sa phrase en riant répondant de la façon que j’estimé la plus juste en souriant toujours naïvement :

-Et je t’aiderais moi aussi si quelque chose t’arrive car pour moi… Tu es une personne importante. Après quelque secondes, je me redis compte que la fin de ma phrase sonnait bizarrement. Je rougis et enchaina rapidement, enfin tu es une amie chère, en riant. Je changeai rapidement de sujet en regardant derrière nous, Nous avons semée le surveillant et le démon je pense, on peut de nouveau bouger si tu le souhaite ou rester ici.
Ce couloir était un peu oppressant et vide, mais au moins nous n’étions pas près de revoir Zenon.

Cette journée restera pour moi un souvenir inoubliable encore aujourd’hui. En y repensant maintenant, bien des péripéties s’étaient déroulé en ce jour si particulier… Bien que je fusse mordu accidentellement par Maria et que nous fûmes attaqués par un étrange démon, pensé à ce jour m’emplit de nostalgie. Cette journée où Maria était à mes côtés et qu’elle m’avait donné tant de force, me montrant le monde tel qu’il est réellement et me laissant découvrir sa réel nature de bonne personne. La beauté de l’amitié entre un ange réputé pur et un vampire de notoriété vil à de quoi montré quant ce monde tout est possible lorsque le cœur est la. Ma plume s’emplit de mélancolie tandis que j’écris la fin de cette journée si particulière et chère à mon cœur.

- Je pense que l'on peut partir, de toute manière il n'y a pas grand chose à faire dans un couloir...

A ce moment, je la vit jetée un coup d’œil dans la grande allé avant de revenir et de me dire :

- Où veux-tu aller ?

Où pouvions-nous donc allée à ce moment, sachant qu’un étrange démon était surement à notre poursuite avec une surveillante assez farouche… En temps normal, j’aurais choisi l’option de la fuite, celle qui m’aurais permis d’évité un éventuel conflit. Mais à ce moment précis, je me sentis poussé par un courage qui me fessait défaut habituellement, moi qui était de nature craintif à l’égard du danger. Je gloussai, disant avec engouement :

-Laissons le hasard guidé nos pas.

Je pris sa main machinalement, et nous nous miment à courir comme des enfants dans ce grand couloir auquel nous étions si habitué. Pourquoi avais-je à ce moment un regain de courage ? Surement car Maria était à mes côtés, elle qui était habité par sa malice et sa confiance à toute épreuve. Après un cours instant, nous atterrissions dans la cour de l’internat et nous vîmes, à notre surprise, que le soleil était enclin à se coucher. Cette scène sublime nous submergea à ce moment, et je me senti devant ce coucher de soleil, en communions avec l’étrange Dame nature, elle qui nous éprouve et nous récompense par la beauté des simples choses. Je déclarai solennellement toujours captivé par ce simple état de la nature :

-Le soleil se couche, tandis que la triste lune rouge prend le fardeau de guidé nos pas. Akai Tsuki, Akai Tsuki, nous te suivrons dans l’obscurité qui nous noie. Puis je continuai lentement, Le temps passe si vite voila que nous sommes bientôt le soir.

Je lâchai sa main lentement et comprit qu’il serait bientôt l’heure de se réparé à nouveau, pour reprendre le quotidien des cours habituel de Nozomi. Nos routes se recroiseront elles ? Surement, tant que ma bonne étoile me sourira ♪