"Heu…Donc…Oui c’est ça !" : Endroit ennuyeux, triste. Ici on accueil les élèves pour compléter leur inscriptions et enfin finaliser leur droit d’entrée dans l’internat. On y entend souvent le griffonnement des stylos contre le papier pour signer ou remplir des formulaires grotesques auquel personne ne prêtera plus attention si vous restez sage et obéissant. Malgré tout, on n’entre pas comme ça dans un établissement pour étudier sans y avoir été inscrit, c’est aussi impensable que de se rentrer le pied dans la bouche entièrement alors qu’on chausse du cinquante. Donc venez, on va vous y mener !

Quel élève ne s’est jamais dit : "Je veux sortir" en restant assit mollement sur sa chaise tel un légume inattentif qu’il est devenu suite aux déblatérations incompréhensible d’un professeur un peu trop lent et barbant ? Ici dans cet univers plus ou moins calme, on étudie et surtout dans le silence pour ne pas déranger les autres classes. Sinon, gare à l’heure de colle – Ou à la punition, selon l’année dans laquelle le cerveau de votre prof demeure.

"Z…Z…Z…Zola ! " : Ah enfin ! Après des heures de recherches intensives dans les grandes armoires boisées de cette salle paisible on trouve enfin le livre tant désiré et dans un élan de joie on cri et on se fait réprimander par l’adulte venu jouer les rabat-joies en expliquant que, non, le fait d’avoir trouvé un livre ne justifie pas le fait qu’on mentionne une péripatéticienne en hurlant qu’on la trouvé – Le livre, pas la douce demoiselle bien entendue – Mais vous êtes content, vous vous asseyez et dans le calme lisez ou vaquer à vos occupations favorites, tel le lancé de boulette en papier sur matheux ou encore le concours de dessin sur table sans feuille.

Grande salle et toujours, toujours ce mutisme las et peu réjouissant. On savoure peu le fait de devoirs recopier trente-six page et demi de règlement intérieur ni de recevoir des cartouches d’encre au préalable envoyées au plafond pour essayer de faire un combo pour enfin toucher le surveillant. Et bien non, loupé, c’est vous qui vous l’êtes prise cette cartouche. Et dans un long soupire vous rechigner ou râler d’une façon démontrant bien votre agacement. Mais en général cela se passe plutôt bien, et peu de gens trouvent le moyen de vous embêter si vous ne leur avez rien fait.

Ouch, un os. Non, c’est une blague, c’est juste le petit maladroit qui s’est tordu la cheville en voulant rattraper un ballon en sport ou la demoiselle agile qui s’est littéralement vautrée en voulant câliner le sol qui prônait un air morne depuis le début de l’année. Mais tout cela sera bien vite réparé après un passage plus ou moins joyeux à l’infirmerie, soigné par une gentille personne habillée de blanc. Elle fournira bandage et médicaments pour soigner les élèves pour qu’il soit sur pied sous peu.

Ahlala, la cafet'... Le meilleur endroit de Nozomi, avec les dortoirs, parce qu'à la cafet', on bouffe ! Enfin, après, c'est pas la fête du slip concernant les repas, c'est souvent plutôt horrible, mais bon. La cafeteria est plutôt grande, et peut accueillir à peu près 800 élèves. Les professeurs mangent dans une petite salle isolée des élèves, et on dit qu'eux, ils ont du vin à boire ! Tss, chanceux.