En fait, y a pas de titre, c'est en cours, parce que j'ai pas fini, et que j'ai pas d'idée, DONC, je fais un titre long juste pour le fun.

✖ Surnom : Marshmallow ✖ Âge : 17 ans ✖ Sexe : Féminin ✖ Groupe : Magicien ✖ Race : Magicienne ✖ Statut (Professeur, Élève, Civil) : Élève ✖ Classe : Light ✖ Pouvoirs : • Invoquer des papillons de lumières. • Invoquer un chat noir, pas plus utile, mais c'est mignon. • Invoquer un loup, qui lui prends plus de force, mais c'est plus classe, et plus pratique en cas d'attaque. ✖ Rang sous le pseudo : ★ - Magicienne presque utile. ✖ Personnage sur l'avatar : IA - Vocaloid ----- Et derrière l'écran ----- ✖ Comment t'es arrivé ici ? Je suis Lifaylee, Kuroe, Azalys, Rin, bref, j'enfile les pseudos =w=' ✖ Code du règlement ? Validée par Stelloush ✖ Âge ? 14 ans ✖ Tu te co souvent ? Tout les jours ? D: Enfin, pas a partir de septembre, je serais en internat. ✖ Comment tu trouves le forum ? Nice nice nice ✖ T'aimes les cookies : Waih

Des cheveux trop lumineux, trop long, trop brillant, si bien qu'aux yeux de tous, je n'avais rien de naturel, comme une créature curieuse. Même s'il s'agissait d'une teinture, mes cheveux n'avaient rien perdu de leurs éclats, brillant de milles feux, prenant des teintes digne des étoiles lorsque les rayons du soleil ou la lune se posaient dessus, éclairant de la même manière mes yeux, scintillant comme deux grand saphir. 

Malgré toute la jalousie que j'avais pu en recevoir, je m'aimais telle que j'étais, ne changeant rien.
Je ne veux rien changer, que ce soit au présent ou au futur. J'aime mon corps trop grand, de son mètre soixante douze, de mes formes, légères mais présente, de ma poitrine, pas trop plate, mais pas trop grosse non plus, de ma peau trop blanche, me donnant un aspect de vampire, yeux rouges a part.

J'aimais, j'aime et j'aimerais toujours mon style de vêtement, qui se contente encore et toujours de jean dit "slim", de sweat à capuche noir trop grand, de mes inséparables ballerines d'un bleu électrique si charmant, de mon collier, si petit, si discret, mais si brillant. 

Je suis fière de ce sourire joyeux, plein de vie qui malgré la tristesse vous dit facilement que tout va bien, qu'il ne faut pas s'inquiéter, que peut importe ce qu'il arrivera, je resterais toujours joyeuse et fidèle à moi même



Il est dur de définir qui je suis. Bien sur, comme tout le monde, j'ai un caractère, une manière de penser, de vivre, et surtout, de survivre, mais bon. est-il si simple de pouvoir se définir ? Certaines personne arrivent facilement à se décrire, en disant : "Oui je suis comme ceci, comme cela !" en pensant sincèrement dire ce qu'ils en pensent. Cependant, pour moi, le caractère d'une personne changera toujours selon le point de vue de la personne qui nous fait face, de sorte qu'une personne dite aimable par untel sera détestable pour un autre. Pour cela, je n'ai jamais cherché à savoir comment j'étais. 

Mais il ne faut pas croire, je sais certaine chose. En apparence joyeuse, pleine de vie, c'est à dire très extravertie, je suis en réalité dur à approcher, n'ayant pas en fort les relations. J'ai toujours préféré la solitude, aimant le calme, me permettant de me reposer, de ne pas à être fausse avec les autres, de ne pas avoir à mentir, ou sourire, ayant toujours se visage si fermé, si sombre, comme si volontairement, je ne souhaitais pas qu'on m'approche. Ce qui est faux. Comme tout le monde, je suis l'une de ces personnes qui cherchent l'affection, et qui la prennent comme ils peuvent, même s'ils finissent blessée, et qui au final passent pour de grand imbéciles. Pourtant, ce n'est pas comme ci je le voulais.

Je suis différente, alors on a tendance à ne pas m'aimer, à m'éviter. Du moins, lorsqu'on a m'a en face. Par d'autre moyens de communications, au contraire, je suis plutôt appréciée, connaissant du monde, leurs têtes, et aussi leurs voix, mais pourtant, sans jamais les avoir en face. Pourtant, peut importe le degré d'affection que je pouvais avoir pour les autres, jamais je n'étais moi. Pourquoi ? Car j'ai tendance à fuir les gens avant d'être blessée, me renfermant petit à petit sur moi même, coupant tous liens, au point de briser la confiance de ces personnes en la mienne. 

Y suis-je pour quelque chose ? Peut-être. Pourtant, je sais bien... Je suis égoïste, faisant plus attention à moi même qu'a eux. Mais, apparemment, je serais douée pour comprendre les gens. Est-ce vrai ? Je n'en sais rien. Qui suis-je vraiment...? Suis-je joyeuse ? Triste ? Colérique ? Timide ? Extravertie ? 

Je ne sais pas. Je me cherche encore. 




Peut importe comment on regarde les choses, j'ai toujours eu une vie normale. Une enfance normale, entourée de gens que je connaissais depuis le bac à sable, parce que mes parents disaient et disent encore que «même si nous devions nous séparer, nous resterions dans cette ville». En gros, que même s'il se séparaient, et se haïssaient, s'ils devaient s'étriper pour s'être croisé dans le même supermarché, ils s'en foutaient complètement. C'est quelque chose du genre...: «Tu passeras ta vie avec les gens que tu connais, tu travailleras avec eux, et, pourquoi pas, épouse nous le gentil Jean, là, tu sais, le fils des voisins ?». Sauf que voilà, le voisin ne s'appelait pas Jean, et de toute manière, je ne l'aimais pas.

Ils se trouvaient, que, quand on habite une ville ou quatre vingt dix pour cents de la population ne connais pas son potentiel magique, bah, toi, à côté quand tu as ta magie et tout l'reste, tu as pas l'air con. En fait, non, tu l'as pas, vu qu'on sait pas ce que tu es. Pratique pour vivre, mais bon. Prenons par exemple ma meilleure amie, Maria, c'est un ange. 'Fin, elle est déchue, parce que c'est une rebelle dans l'âme, donc elle se trimbale avec des ailes noires sous sa vraie forme, quand elle joue pas la fille normale. Si elle tombe d'un immeuble, elle, elle pourra survivre en volant, mais elle devrait se dévoiler, donc en gros, juste pour pas être brûlée au bûcher, elle devrait se laisse mourir, et être enterrée, tout le tintouin de ceux qui ignorent leurs origines pour que leurs ancêtres et progénitures aient une mort paisible. 'Fin, voilà.

Du coup, j'me retrouve coincée avec des amis exclusivement magique, parce que, ouais, avoir des amis ignorant, pour trouver des sujets, c'pas facile. Sauf quand tu pars dans une explication longue de trois cents mètres pour expliquer que, NON, les magiciennes, c'pas des filles qui rencontre des p'tites mascottes troooop cute, qui te transforme en jeune demoiselle avec le costume tout rose et à volant avec la p'tite baguette magique qui viens tuer des monstres pour sauver le monde d'un monstre XYZ qui veut détruire la planète pour X raison, mais juste des personnes NORMALES, qui vivent normalement, parmi les autres, sauf qu'elle ont la magie dans leurs sang. C'comme les sorcières, sauf qu'y a pas le chapeau, la marmite, les verrues et tout ça. Quoique parfois, le chapeau, pour le style, c'pas mal à mettre, ça donne un p'tit air.

D'ailleurs, moi, mon origine de magicienne, je sais pas d'où je la tiens, mais d'après ma  mère, ce serait de l'arrière arrière oncle Henry, qui était l'un des magiciens les plus pitoyable de son époque... Ca ne m'a jamais vraiment rassuré qu'en à mon évolution dans ce monde, sincèrement.

Mon père est une genre d'hybride entre une fée et un métamorphe, ce qui fait que parfois, on à un chien avec des ailes à la maison. Mine de rien, sur un beagle, les ailes, c'est classe. Et ma mère, elle, c'est juste, mais, juuuste un vampire. A cause d'elle, j'ai la peau blanche. Et je ne bronze pas. Jamais. Never.  Mais elle boit pas le sang des autres, parce qu’apparemment, ça la dégoûte. Du coup, c'est mon paternel qui perd des globules rouges. Si un jour il meurt, j'en serais pas étonnée. Pas que je l'aime pas, au contraire, mais avec le sang qu'il perd dès que ma mère à besoin d'un casse croûte, je m'étonne encore qu'ils soit toujours avec nous. Pas que ma mère et moi hein, mais j'ai aussi un petit frère. Même s'il est adorable, sa magie, elle est pas au points du tout, et pour lui, on à le droit aux gènes de l'arrière grand mère de la grand mère de mon père, je crois qu'elle s'appelait Gertrude. Mais j'en suis pas sure. Mon petit frère, c'est Léo, bouille d'ange, et caractère de chien. Mais il est chou, alors on lui pardonne.

M'enfin. Je sais plus trop comment, mais à la genre de l'animé sur l'humain qui va dans un lycée remplis de mob', mes parents m'ont annoncé du jour au lendemain, quand je sortais de mon boulot dans le Neko Café de la ville, que je rentrerais dans un lycée du japon, pour les gens comme moi. Yeay. J'étais heureuse hein, j'aime le japon tout ça, sauf que voilà, j'en parle pas un mot, de japonais. Donc, parce que j'ai pas eu le choix, j'ai appris... Allez, les bases, et le reste bah... «Tu te débrouilleras pour communiquer avec des dessins!» que disent mes parents.

C'est comme ça que moi, Anna, dix sept ans, magicienne surnommée «Marshamllow» parce que c'est avec une grâce divine que j'en mange, je me retrouve devant un lycée que je connais pas, avec mes meilleurs amis les papillons de lumière qui me suivent partout depuis que je l'ai aient invoqué. Comme des familiers quoi. Sauf qu'ils servent à rien.

Bref. Nozomi, gens que je connais pas, je suis là.


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