Conte de la bécasse ( pv Akimi Nobi) suite

J'avais rapidement repris mes affaire au vestiaire sans prendre la peine de me changer, il serait bientôt inonder de monde. J'avais presque deux heures devant moi, je décida donc de remonter dans ma chambre. Je me rhabilla, un simple jean noir, un t-shirt blanc avec des motifs. Je retourna à la salle de bain et me nettoya le visage. Il s'était à peine dérouler 10 minutes, je ne savais pas trop quoi faire, lire un livre, non pas trop, jouer à ma PSP non plus. Je fini par m'asseoir, sur mon bureau Eline m'avait laisser un mot :

Coucou frérot, voilà je serais pas là demain, journée cinéma pour moi, euh..qu'est ce que je voulais te dire?? ...Ah! Oui, oublie pas ta rédaction en français, je tes déjà rendu un service, rappelle toi de la colle hier ! Bon bah bonne journée ;)

Ahh! Oui, une foutu rédaction, si elle ne m'avait pas laisser un mot je n'en m'aurais pas souvenu, je froissa le petit papier que je jeta à la poubelle. Je pris donc une copie double et relu le sujet.
Ecrire un poème vous correspondant. Vous veillerez à utiliser plusieurs figure de style vu en coure et vous vous centrerez sur un aspect de votre personnalité. Le poème doit faire au minimum 15 vers, vous avez champs libre sur la forme de votre poème. Bon courage et veiller à me rendre cette rédaction dans les temps impartie sous peine d'une demie journée de colle.
Je blanchie lorsque je le lu, j'étais pas doué d'une grande imagination et les figure de styles franchement à par la comparaison j'étais pas très doué, puis un poème qui se centrait sur un aspect de moi. Je me mis à réfléchir avec toute la bonne volonté du monde et sans trop faire attention me mis à gribouiller sur la copie blanche.

Mélancolie

Elle est là, difficile de s’en séparer.
Elle vous montre de si beau moment.
Alors sans vous en rendre compte
Elle vous a pris votre sourire
Votre bonheur, votre joie, votre gaité.
Et sans trop savoir pourquoi
Le moment présent devient aussi
Sombre que le plumage d’un corbeau.
Elle vous gonfle le cœur de tristesse,
Et une à une vous fait coulez de douces larmes,
Une pour le sourire d’une mère aimante,
L’autre pour le rire grave d’un père,
Une troisième pour votre naïveté,
Une dernière pour l’enfant que vous étiez.
Alors elle vous fait poussez
Un crie de désespoir silencieux.
Votre esprit devient rage et regret,
De nouveau des larmes coulent,
Une pour l’homme que vous êtes devenu,
L’autre pour la voie que vous avez pris,
Une troisième pour la joie oublier,
Une dernière pour les rêves perdus.

Voilà, sa devrais suffire, je ne voulais pas passer mes deux heures pour ça. Je me mis à la relire, compta les vers et mis la ponctuation. Je la fourra dans mon sac et fit tourner ma chaise de bureau en poussant un soupir d'ennuie. Je me leva fit quelque pas dans la petite chambre et me résolu à lire quelque page d'un livre pris au hasard à la bibliothèque par Eline, "Conte de la bécasse" et autre nouvel de Maupassant. Je savais que c'étais un écrivain célèbre mais pas plus. Je commença ma lecture.

Je regarda ma montre, il était 10h-10, je sauta de mon lit où je m'étais affaler pour mieux lire, c'était la première fois que je me trouvais captiver par un livre, cette chose si inconnu pour moi. C'était en faite agréable, s'imbiber de chaque mot, s'imaginer chaque lieu, chaque personnages, entrer dans le monde de l'auteur. La lecture était en plus moins fatigante que de joué à un jeu vidéo. Je mis rapidement mon manteau, je pris mon sac de coure que j'avais pris soin de vider et d'y mettre seulement mon porte feuille. Je descendis en ville et à 10 h j'attendais devant le café assis sur un banc. Je me rendis compte que j'avais oublier de prendre mon écharpe rouge qu'Eline m'avait offrait il y a longtemps, je ne l'oubliais pourtant jamais.

Une main chaude recouvra mes yeux sans que je m'en rende compte, et une voix féminine se fit entendre.

<< Qui s'est ?>>

A ses deux mots je reconnu immédiatement la douce voie d'Akimi.

<< Akimi.>>

Je ne mis aucune intonation dans ma voie, ni surprise et ni joie, une voie morne et normal. Il faut dire que je n'étais pas très fort pour exprimer la gaité et l'excitation. Je me leva et me retourna, son visage confirma ma réponse. Elle avait attacher ses cheveux et ne portait qu'un simple débardeur noir clouté avec un jean's troué. Je fut surpris de son allure, je l'aurais plutôt vu avec des vêtement plus...disons mignon, elle faisait plus gentils petite fille que rebelle. Après tout chacun son style et ça lui allait très bien.

Je l'invita à s'installer à une table d'un simple geste de la main. Je retira mon manteau, le temps c'était réchauffé, en faite je le portait plus par habitude que pour me couvrir. Je ne prit pas la peine de regarder la carte.

-Je prendrais un cappuccino et toi ?

J'étais un peu gêner, je ne m'étais jamais retrouver dans se type de situation, et j'étais un peu pataud dans les geste que je faisais, me retrouver seule dans un café avec une jeune fille autre qu'Eline ne m'étais jamais arriver.

Elle prit la carte et la regarda quelques instant puis déclara.

<< Moi un sirop de violette et une tarte au citron meringué ! >>

Elle était donc gourmande, le sirop de violette m'étonna, je ne savais pas que ça existait, pour la tarte, j'en avais déjà goutter mais je ne suis pas très bec sucrer.
Elle sortie de son sac un livre qu'elle me tendit.

<< Tiens , j'ai pris ça pour toi , ça pourrait t'intéresser . >>

Je le pris donc volontiers, curieux de savoir de quoi il parlait, il ne semblait pas venir de la bibliothèque de l'internat, il n'y avait pas l'habituel présence de tampon ou de code barre.

<< Après si tu as des questions je peux y répondre ... >>

Je ne l'écoutais plus vraiment, je regardais le livre , ne sachant pas trop quoi en faire, je fini par l'ouvrir et tomba au hasard sur une des pages, il y avait un dessin, je le reconnu tout de suite, c'était la marque que je possédais sur le bras. Je ne savais pas si je voulais contrôler mon pouvoir et sortir la tête, ne plus être se garçon si sombre, devenir une jeune garçon comme les autres, joyeux et plein de rêves en tête. Je fini par tourner une vingtaine de page en m^me temps pour tomber sur le titre d'un chapitre " Interprétation des rêves prémonitoire".

Je me rendis compte d'une chose à ce moment, au moment où j'ai accepter d'en savoir plus sur mon pouvoir, maintenant je serais obliger d'aider les autres, je ne pourrais plus tourner le dos à un future que j'ai pu décrypter. J'allais devoir me donner corps et âme à une mission que je n'es pas choisit, mon avenir, devenais de plus en plus claire. Alors comment je pourrais être heureux dans cette vie, il y a des gens qui vive égoïstement sans jamais penser au autre, d'autre seulement au gens qui leurs sont proches et puis moi j'allais devoir assumer toutes les personnes qui m'entourent.
C'est dans se genre de situation que j'aurais voulu ne jamais me réveiller donner ma place à Eline.
Non, mon gars faut te ressaisir, il ne faut pas penser et agir, j'aurais tant voulu que mon père me dise ça à se moment, mais c'était seulement la petite voix de la raison dans ma tête. Je poussa un soupir, pour me calmer. Leva la tête et sourie à Akimi.

<< Merci beaucoup, sa te dérange pas, il a l'aire précieux se livre. IL est à ton père non ?>>

J'en avais déduit parce que lorsque j'avais vu sa vie, j'avais été marquer par la bibliothèque que possédait son père. A se moment, un des serveur nous apporta notre commende.

<< Oui , ça vient de la bibliothèque du château . Mais mon père ne se rendra pas compte si un livre disparait ! Il y en a tellement ! >>

Ca je le savais, elle prit sa fourchette et se mit à manger sa tarte, moi de mon cotée je bue mon cappuccino à petite gorgé car il était encore chaud.

<< Tu sais ... J'ai beaucoup penser à toi ce matin , enfin à ton pouvoir ! Enfin tu m'as comprise quoi ... Ca doit être géniale de pouvoir aider des gens , tu en as de la chance . Moi je peux aider personne ! Seulement ... m'amuser et encore c'est tellement enfantin ! Tu peux être fier de ce don que tu as . >>

Autre fois j'aurais rigoler, voire cette jeune fille parler la bouche plaine et en plus elle était de sang royale, mais c'est propos eux ne me faisais pas rire au contraire. Mon sourire disparut, et je me serais mis en colère, mais je repris le contrôle de mes émotions et préféra tout lui dire, après tout elle en savait déjà pas mal sur moi et j'avais confiance en elle, je sentais qu'entre ses mains un secret reste à l'abris.

<< Non, ce n'est pas géniale, je ne comprend jamais les gens, pourquoi trouve -t-il cela si merveilleux de voire le future, les fantômes, la mort elle même ! C'est un perpétuelle cauchemar. Je n'es pas eu une nuit de sommeil entière depuis mon réveil de l'hôpital, les esprit me demande sans cesse de l'aide, et quand elle arrive je n'arrive pas à contrôler mon pouvoir et attire toutes les âmes qui n'ont pas réussi à trouver la paix, la mort, chaque fois que je la voie, je sais que quelqu'un va bientôt mourir et qu'elle veut que je l'a sauve, mais c'est toujours pareil elle finit par mourir. Alors non se n'est pas géniale, je donnerais tous pour avoir ton dons, aider les gens se n'est pas ma vocation. Normalement je n'aurais du avoir aucun pouvoir, j'étais un rater, il aurait fallu que j'apprenne la magie dans des livres. Mais le destin en a voulu autrement et me voilà là. Tu sais toi, tu as eu une belle vie pour l'instant, et tu sais tu as de la chance, j'en es vu des vies, pires les une que les autres, mais je ne peux rien faire pour réconforter les gens où même les aider. Un jour j'ai compris par chance un de mes rêves, ça c'est terminer par un renvoie de mon établissement. Alors depuis je préfère ne rien faire. Je crois que là seule chose qui m'a permis de tenir c'est ma soeur Eline, si on avait pas fait cette promesse lorsqu'on était petit elle ne serait pas là et moi par la même occasion.>>

J'avais sortie tout cela d'une voie sèche et directe sans reposer ma voix, se monologue je me le répétais souvent dans ma tête lorsque quelqu'un me disais que mon pouvoir était géniale, je leur répondais souvent par un bof sans rien ajouter, mais là j'avais craquer. Pauvre Akimi, j'allais sans doute la faire fuir, se retrouver avec un gars comme moi en ferait fuir plus d'un. Je voulu par gentillesse me rattraper.

<< Pardon, je me suis énerver, vraiment désoler, si tu veux je te rends ton livre et je part.>>

Je lui tendais déjà le bouquins, il valait mieux que ça se termine là, de toute manière elle allait le reprendre et partir comme les autres qui avait juste essayer d'être sympathique avec moi.

Elle ne reprit pas le livre au contraire, j'en fut étonner, elle fit non de la tête avec un sourire au lèvre. Puis elle but une gorgée de son sirop comme ci de rien était.

<< C'est seulement parce que tu as peur de toute ça mais saches que dans la vie on n'a pas toujours ce que l'on veut .Tu n'arriveras pas à contrôler tes pouvoirs si tu n'arrives déjà pas à te contrôler toi et tes émotions . C'est un acquis de sois mais tu ne feras rien de bon si tu restes à avoir peur . C'est vrai que je ne peux pas imaginer ce que ça fait car je ne l'ai pas vécu mais on ne résout pas ses problèmes en fuyant ou en ne faisant rien car on connait déjà son futur . Le futur peut-être changer par nos actes , il faut seulement se donner les moyens d'y arriver . >>

C'est parole me mirent d'abord en colère, que savait-elle de moi et de se que je vivait, mais je repris mon calme et repensa à se qu'elle venait de dire. Si c'est parole m'avait blesser c'était surement parce qu'elle avait raison. Je vis alors devant moi cette porte qui jusqu'a la me paraissais inaccessible, la porte vers une vie plus belle et plus heureuse. Mais il fallait que je fasse quelque chose qui me semblais impossible, laisser partir Eline. Je me retint de justesse de partir bouder quelque part comme un gamin. Je resta assis et but une grosse gorgée de ma boisson chaude.

<< Tu peux aider beaucoup de gens et t'aider toi même . Tu as un don Lou , mais tu ne t'en rends pas encore compte parce que tu as vécu tellement de choses ... douloureuses que tu ne sais même plus ce que c'est le bonheur . Mais avec de la volonté et du soutient , on peut y arriver ... Tu peux y arriver . >>

Sa voix était douce et apaisante, une voix qu'une mère aurait pris pour consoler son enfant. Elle me redonnait courage et surtout confiance en moi. Mais j'avais toujours cette peur d'être dessus et de me retrouver plus accabler qu'avant. Elle se mit à fixer le livre qui se trouvait à coter de ma tasse.

<< Garde le , tu pourras le lire ce soir dans ton lit . Prends en soin . >>

<< Merci.>>

Je n'arrivais plus à parler, ma voie étai enroué. Je prit le livre et le mis dans mon sac, je voyais déjà la tasse de cappuccino se renverser dessus. Le temps c'était assombrie se qui laissait à penser une bonne ondé à venir. Je fini ma tasse et appela un des serveur, je lui tandis la somme exacte pour le cappuccino et il repartie.

<< Si tu veux on rentre ensemble, il ne va pas tarder à pleuvoir et midi approche à grand pas.>>

<< Je pense que tu as raison et qu'il serait sage de rentrer ... >>

Sa voix qui au paravant était enjoué et douce était maintenant plus calme et enrouée. Tout sa à cause de moi, j'aurais tant voulu lui rendre son sourire, mais se n'était pas une de mes aptitude en se moment même. Ne plus penser, ne plus réfléchir était pour moi la meilleur solution, je ne voulais que m'allonger et dormir me réveiller et reprendre mon train train habituel, seule sans les autres.

Je commença à marcher d'un pas rapide et diminua peut-petit à petit mon pas pour se calmer avec elle. Même si je n'avais pas envie de parler je pouvais au moins rester à coter d'elle. J'ai remarquer une chose si le silence ne pèse pas entre deux personnes, que se silence ne les gène pas et bien c'est personne se lie facilement d'amitié. Personnellement moi, le silence qui s'était installer entre moi et Akimi m'allait très bien. Ce n'est pas que je n'aime pas l'entendre parler, mais pour moi c'est nécessaire. De gros nuage noir s'amoncelaient au-dessus de nous, puis d'un coup de grosse gouttes de pluie vinrent percuter le sole dure et sec. Il fallait absolument trouver un abris avant que nos vêtements ne sois gorgée d'eau. La chance était avec nous, le cinéma comportait une sorte de terrasse.

- Viens.

Je lui pris la main et me dirigea vers le cinéma. Une fois au sec, je m'assis pas de fatigue, mais pour avoir une posture plus confortable. Juste devant moi se trouvait le tableau ou l'on affichait les films et leurs horaires. Je comprenait pourquoi Eline était partie pour la journée, il rediffusait tous les films d'un romans très connu de fille, je sais plus trop quoi, une niaiserie encore une fois.